Depuis quelques années, le mouvement « No bra » a commencé à s’imposer un peu partout, des Etats-Unis à l’Europe. Et aussi surprenant que cela puisse paraitre, il remonterait aux années 1960. Qu’est-ce que le « No bra » ? Tout simplement le fait de choisir de ne pas porter de soutien-gorge. Populaire, il interroge également sur ses habitudes, et s’adapte plus ou moins facilement selon son style de vie et son tour de poitrine : quid du côté pratique, en effet, lorsqu’il s’agit de faire du sport ? Mon choix ? No bra et brassière, mais adieu les baleines.
La brassière : mon incontournable en dehors du no bra
Alors voilà, entre le confinement et le travail à la maison, étant donné que je n’ai pas non plus une poitrine particulièrement imposante, le no bra a su trouver sa place dans mon quotidien. Mais c’est uniquement les jours de repos. Car les jours de sport, pour plus de confort, j’aime mes brassières. Comme quoi, avoir une petite poitrine ne signifie pas forcément que l’on se sente à l’aise sans maintien pendant une activité nécessitant de sauter, de courir ou d’avoir la tête en bas !
J’aime notamment la gamme de brassières Undiz « We care », avec des produits pouvant être recyclés et qui, pour certains, sont composés de matières déjà recyclées. Cette gamme se déploie d’ailleurs également en version maillots de bain.
L’avantage des brassières me parait multiple. Tout d’abord, on a un vêtement léger, agréable à porter et qui est parfaitement adapté à votre pratique sportive. Je fais aussi bien du yoga que du running ou de la boxe avec ma brassière.
Ensuite, cela me rassure, car la relation entre de potentiels risques liés aux armatures de soutien-gorges, en rapport avec le cancer du sein, m’a un peu refroidie, j’avoue. Et puis, désormais, je trouve que les modèles de brassières sont tout aussi chouettes que les soutien-gorges.